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Observatoire de la Précarité et du Mal-logement 92

Pourquoi un observatoire ?

L’OPML92 est un outil à la disposition de tous ceux qui veulent mieux connaître la situation de la précarité et du mal-logement dans chacune des 36 communes des Hauts-de-Seine, dans les communautés d’agglomération du 92, dans le département dans son ensemble.
Une question au cœur des préoccupations de l’OPML92 : les populations modestes peuvent-elles encore vivre dans les Hauts-de-Seine ?
La campagne logement 92 a pu s'appuyer sur l'observatoire hier, la campagne citoyens fraternels aujourd'hui.

Son contenu

• Rassemblement de toutes les données disponibles pour :

  • connaître la situation du mal-logement et de la précarité sous différents aspects et les actions menées pour y faire face,
  • mesurer comment cela évolue.
    Ces informations sont présentées d’une manière identique pour toutes les communes.
    • Des dossiers, des synthèses pour analyser ces données

Qui l’anime ?

Une association a été créée en 2015 composée d’associations, de bénévoles concernés et impliqués par ces questions.

*Quelques chiffres que l’on pourra trouver sur le site de l’Observatoire
Sur le 92, 27 000 personnes peuvent être aujourd'hui considérées comme n'ayant pas de logement personnel :
-13 000 sont dans des dispositifs d’hébergement ou logement de transition
-12 000 personnes au RSA sont sans logement en titre
-2 000 sans-logement seraient hors dispositifs selon des données associatives
En réalité ces personnes sont plus nombreuses, c'est ce que s'efforce de déceler cet observatoire
Plus de 20 000 familles modestes principalement dans le parc privé ont un taux d’effort net pour payer leur logement supérieur à 30% de leurs revenus, les mettant en situation de fragilité.
185000 personnes pauvres dans les Hauts de Seine soit un taux de pauvreté de 11,8
Les huit communes (Gennevilliers, Clichy, Villeneuve-la-Garenne, Nanterre, Bagneux, Colombes, Asnières et Malakoff) hébergent la moitié des populations pauvres alors qu’elles ne représentent que 29% de la population.

Un bénéficiaire du RSA socle sur quatre habite dans une ZUS*

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